Du Maroc à l'Afghanistan, tout inventaire de la situation - un an après le début de la guerre en Irak - risque d'être comme de coutume complexe, ambigu, pire pour les uns, meilleur pour les autres, à l'exception de deux évidences : la détérioration continue du conflit israélo-palestinien d'une part ; l'extrême difficulté du « state building » en Irak, de l'autre