En mettant la priorité sur la prévention, l’Union européenne pourrait maximiser l’usage de ses ressources et le soutien des capacités des gouvernements et des sociétés pour lutter contre le fléau des armes légères, explique Damien Helly, chargé de recherche de l’IESUE sur l’Afrique, la prévention des conflits et de la gestion des crises.